L'air que nous respirons

Nous accordons trop peu d’importance à l’air que nous respirons chaque jour et pourtant celui-ci nous maintiens en vie. Il est donc primordial de prendre en compte son caractère primordial sur notre santé. Le Label INTAIRIEUR® à des exigences qui poussent à prendre en compte la qualité de l’air dans ses constructions.



AFFICHE 1 : « L’air est originel » 

Dans l’inconscient de chacun, l’air est souvent représenté à côté d’autres éléments : l’eau, la terre et le feu. 
L’air est un mélange gazeux constitué de 78 % de diazote (N2), de 21 % de dioxygène (O2) mais également d’autres gaz (dioxyde de carbone, vapeur d’eau, hélium…) sans lesquels n’existeraient pas les conditions nécessaires à la protection et au maintien de la vie. 
De plus, l’air n’est pas un environnement statique mais dynamique. Des substances y sont introduites et éliminées. Les processus qui s’y déroulent influencent notre vie, de manière parfois positive, parfois négative (vent, tempêtes, pollution atmosphérique…).

 

AFFICHE 2 : « L’air est vital »


Instinctivement, chacun respire environ 15 000 litres d’air par jour. Le temps maximum qu’on puisse passer sans respirer est de 3 min, c’est un besoin permanent : on respire 100% du temps. 
Bien qu’il puisse nous sembler propre, l’air qui nous entoure contient de nombreux types de particules microscopiques, comme des particules minérales, des gouttelettes d’eau, du pollen, diverses catégories de matières biologiques ainsi que des polluants artificiels, que l’œil humain ne peut pas voir. Ces particules peuvent transporter des micro-organismes, des allergènes et des toxines qui provoquent un large éventail de maladies. De plus, la pollution de l’air peut avoir divers effets à court et à long terme sur la santé. La pollution de l’air en milieu urbain accroît le risque de maladies respiratoires aiguës (pneumonie...) et chroniques (cancer du poumon...) ainsi que de maladies cardio-vasculaires. Environ 40 000 personnes décèdent chaque année de la pollution de l’air en France. Le label INTAIRIEUR est une solution pour garantir la qualité de l’air dans votre logement / maison et votre santé.

 

AFFICHE 3 : « L’air est omniprésent »

 

L’air est omniprésent car il désigne le fluide gazeux parfait, incolore, inodore et invisible qui constitue l'atmosphère terrestre. 
Sans cette atmosphère, la vie telle qu’on la connaît, n’existerait pas ! Elle nous protège des météorites car elle fait subir des frottements très importants qui les réduit en poussières. Elle nous protège aussi des rayonnements dangereux, grâce à la couche d’ozone. De plus, elle maintient une température idéale en jouant le rôle de serre. 
Malheureusement, les activités humaines ne cessent de changer la composition de cet air. Et ce n’est pas sans conséquence : réchauffement climatique, dégradation de la faune et la flore… 
Il est donc primordial de prendre soin de la qualité de l’air et notamment dans vos logements. Le label INTAIRIEUR est une solution pour garantir la qualité de l’air dans votre logement.

 

 

AFFICHE 4 : « L’air est fragile »

 

L'air est un mélange gazeux constitué en grande majorité de diazote et de dioxygène. Il constitue notre atmosphère, indispensable à la vie. 
Pourtant, l’activité humaine ne cesse de déstabiliser cet équilibre… Dioxyde d’azote, particules fines, pesticides, ozone, etc. sont autant de polluants que notre trafic routier, nos industries, nos cultures, etc. émettent chaque jour. 
Cette pollution de l’air a des conséquences réelles sur la santé des êtres vivants, sur l’environnement mais aussi sur l’économie ! 
La prise de conscience doit donc être collective. Le label INTAIRIEUR® permet de limiter les sources de pollution émis dans les bâtiments d’habitation neufs.

 

 

AFFICHE 5 : « L’air est inssaisissable »

 

Quand on évoque l’air, certains d’entre nous auront de jolies images qui leur viendront en tête : le ciel, les nuages… Les plus pessimistes d’entre nous penseront aux smogs : ces épaisses brumes brunâtres provenant d’un mélange de polluants atmosphériques. Pourtant ce ne sont que des représentations… Car l’air ne peut clairement s’illustrer : il est normalement incolore, invisible et inodore… Alors qu’il nous entoure au quotidien. 
Dans nos intérieurs, les sources de pollution sont innombrables : mobilier, produits de nettoyage, bougies parfumées… Pour évacuer que la pollution s’accumule il est donc indispensable de ventiler ! 
Le Label INTAIRIEUR est exigeant sur la qualité de mise en œuvre des installations de ventilation : test d’étanchéité à l’air du réseau, mesures débits/pressions aux bouches, contrôle visuel, permettant ainsi un bon renouvellement de l’air.

 

 

AFFICHE 6 : « L’air est ludique »

 

L'air est support de jeux pour les grands comme pour les petits. De nombreux sports découlent directement de cette relation à l'air : parapente, planeur, kitesurfe, planche à voile, chute libre... ou tout simplement un cerf-volant accessible aux plus jeunes. En parlant d’enfants, ceux-ci sont particulièrement vulnérables aux effets de la pollution de l’air car ils respirent plus rapidement que les adultes et absorbent ainsi davantage de polluants. 
Fondée en 2008 par le Dr Pierre Souvet (Cardiologue) et le Dr Patrice Halimi (Chirurgien-Pédiatre), l’Association Santé Environnement France (ASEF), a pour objectif d’informer sur l’impact des polluants sur la santé, et surtout de donner des conseils pour les éviter. 
Cet été, l'association a lancé l'application « Bulle 1000 jours », afin de permettre aux parents et futurs parents de s’auto-éduquer sur le sujet des perturbateurs endocriniens. Cette dernière se concentre sur la période des 1000 premiers jours pendant laquelle un bébé se développe, prépare et construit son avenir. Protéger les patients de la contamination chimique et des perturbateurs endocriniens, un enjeu majeur de santé publique !!


 

AFFICHE 7 : « L’air est invisible »

 

Nous respirons beaucoup, mais nous n’avons pas conscience de ce qui entre dans nos poumons car l’air est invisible. Dans les espaces clos, nous pouvons être exposés à de nombreux polluants dont les sources sont multiples.  
Un polluant est une substance naturelle ou artificielle que l’homme a introduite dans un milieu où elle était absente ou présente en quantité différente. Ils peuvent être définis en fonction de leur nature : chimique, biologique ou physique et peuvent affecter l’Homme (problèmes de santé) et son environnement (pollution).  
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que 9 personnes sur 10 respirent un air pollué dans le monde et que 360000 décès prématurés surviennent chaque année dans l’Union Européenne en raison de l’aggravation de la pollution atmosphérique. Elle estime également qu’entre 11% et 14 % des enfants âgés de 5 ans et plus présentent des symptômes d’asthme et que 44 % d’entre eux sont liés à des expositions environnementales, notamment à la pollution de l’air, à la fumée secondaire de tabac, aux moisissures et à l’humidité dans les habitations.

 

AFFICHE 8 : « L’air est gratuit »

 

Respirer fait partie des seules activités gratuites encore possible aujourd’hui. Néanmoins, nous ne savons pas si l’air de nous respirons et de bonne qualité ou non. De nos jours, la qualité de l’air à l’intérieur des bâtiments constitue une préoccupation de santé publique.  
Aujourd’hui, le recours aux méthodes de hiérarchisation est de plus en plus fréquent pour classer les substances potentiellement présentes selon le risque encouru. En effet, les polluants de l’environnement intérieur sont nombreux et ne présentent pas tous un intérêt équivalent en termes de santé publique. La hiérarchisation permet également d’identifier les polluants émergents pour lesquels les données d’exposition sont actuellement insuffisantes. Au total, 2 741 substances dont 254 classées comme dangereuses ont été recensées et hiérarchisées. 
La pollution de l’air intérieur a un coût socio-économique. En 2014, il était estimé à 19 milliards d’euros par an. Elle entraîne également des conséquences sur la santé puisque plus de 28 000 nouveaux cas de pathologies sont constatés chaque année et qu’elle est à l’origine d’environ 20 000 décès annuels.

 

 

Et vous, quel mot utiliseriez-vous pour qualifier l’air ?