Pourquoi
le label INTAIRIEUR® ?
Un référentiel simple et fiable qui vise à améliorer la qualité de l’air intérieur et à aider les futurs occupants à pérenniser une démarche initiée par le constructeur.
Un constat qui nous concerne tous
Logement, bureau, école, transports… Nous passons 80 à 90 % de notre temps dans des espaces clos et nous savons désormais que l’air intérieur est 5 à 10 fois plus pollué que l’air extérieur (OQAI 2004). La qualité de l’air intérieur est une interaction complexe et un équilibre souvent précaire entre l’air extérieur, les sources de pollution intérieures, les conditions d’aération, de ventilation et le rôle de l’occupant du bâtiment. Les sources responsables de la pollution de l’air intérieur sont nombreuses : produits et matériaux de construction ou de décoration, appareils de chauffage, de cuisson, de ventilation, mobilier, activités humaines (cosmétiques, le tabagisme, le bricolage…), etc.
Les conséquences sanitaires de la pollution de l’air intérieur sont nombreuses : baisse de la concentration, symptômes tels que maux de tête, fatigue, irritation des yeux, du nez, de la gorge et de la peau, vertiges ainsi que les manifestations allergiques et l’asthme.
Les enjeux économiques liés à la qualité de l’air intérieur sont importants. En France on estime entre 12,8 et 38,4 milliards d’euros par an (OMS, 2011) le coût de la mauvaise qualité de l’air intérieur. Il est donc devenu indispensable de mettre en œuvre des actions pour améliorer la qualité de l’air intérieur des bâtiments.